Le Vertige

Olivia Rosenthal et Chloé Moglia expliquent, l’une en paroles, l’autre en silence, comment le vertige participe à leur vie. Occasion pour elles de tisser un épisode biographique avec le récit diffracté et quelque peu partial d’un film, Vertigo d’Alfred Hitchkock. Occasion aussi de rappeler que le cinéma raconte des histoires qu’on fait siennes, ce qui explique qu’on puisse sans difficulté s’identifier à Kim Novak quand cela s’avère nécessaire.

La trapéziste Chloé Moglia et l’écrivain Olivia Rosenthal s’associent pour éprouver la notion et la réalité de vertige, à partir du célèbre Vertigo d’Alfred Hitchkock. Au sol, l’auteure dit la fragilité des êtres. Au-dessus d’elle, suspendue à une structure inédite, la circassienne répond à ses manières. L’histoire personnelle croise la fiction. La gravité du propos – prise de risque, chute, suicide – s’allège en prenant de la hauteur.
Stéphanie Barioz – Télérama.fr avril 2013

Distribution

Texte Olivia Rosenthal
Conception et interprétation Olivia Rosenthal et Chloé Moglia
Musique Bernard Herrmann
Arrangements Kamal Hamadache et Alain Mahé
Lumières Philippe Gladieux
Régie lumière Coralie Pacreau
Production Laurence Edelin
Photos © Catherine Tambrun

Production

Rhizome

Coproductions

SACD/Festival d’Avignon

Soutiens

Du CENTQUATRE Paris et de L’ESPACE PERIPHERIQUE (Mairie de Paris . Parc de la Villette).

«Vertige», un texte tiré de Ils ne sont pour rien dans mes larmes. Editons Verticales, 2011